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16 mai 2012 3 16 /05 /mai /2012 06:25

1 - DEUIL : Ce que je n'ai pas eu.

Ce que mon "petit enfant intérieur" n'a pas eu, je ne l'aurai jamais ; j'arrête donc au travers du monde de tenter d'obtenir ce que mon petit enfant intérieur n'a pas eu.

 

2 - J'ACCEPTE du monde ce que je n'ai pas eu enfant.

 

3 - Je DONNE à moi-même ce que je n'ai pas eu enfant.

 

4 - Ce que je n'ai pas eu enfant, je le DONNE au monde.

 

 

Pt-Prince1.jpg

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27 mars 2012 2 27 /03 /mars /2012 07:19

(Faire suivre à votre réseau merci)

 

Florence Bouillard

ouvre les portes de son cabinet gratuitement* le 05 avril 2012 à Besançon,

 

à l'occasion de la 3e journée nationale des pratiques de santé

 

organisée par Alliance pour la Santé (http://alliance-pour-la-sante.com/)

 


Au programme le jeudi 05 avril 2012 :
Mini-conférences pour petits groupes de 5- 6 personnes tout au long de la journée.
 
Les thèmes abordés
 
Conférence : ZRM & EMBODIMENT - "de la motivation à l'action il n'y a qu'un pas parfois impossible à faire... et pourtant notre motivation n'est pas en cause".
Outil de self-management (se manager soi-même).
 
Conférence suivie d'un atelier : ATELIER COUTEAU-SUISSE - "Présentation de techniques que l'on peut utiliser soi-même et sur soi-même..."
Issu de l'EFT et de mouvements taoïstes très simples... suivi d'un atelier-découverte.
 
Conférence : LES RÉFLEXES ENFANTINS ET POSTURAUX - méthode WARNKE - avec présentation d'un diaporama expliquant les retombées des réflexes enfantins non-intégrés ou encore actifs dans notre vie de tous les jours.
Présentation de la méthode utilisée pour rééquilibrer le corps... pour se sentir plus libre dans sa vie.
Et présentation du BRAIN-BOY.
 
Programme, horaires et inscriptions au 06 85 13 18 40.

 

 

* Florence Bouillard reçoit gratuitement ; Pour raison de responsabilité, "Alliance pour la Santé" préconise aux personnes présentes une adhésion de 5 euros minimum (qui sera intégralement reversée à Alliance pour la Santé)

Bien sincèrement,

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21 mars 2012 3 21 /03 /mars /2012 07:40

en boucle...

encore et encore !!

 

http://www.youtube.com/watch?v=peR2EDHpd4w&feature=share

 

le livre de la jungle *il en faut peu pour etre heureux* HQ (clip officiel)

 

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6 mars 2012 2 06 /03 /mars /2012 13:59

"Le jour où je me suis aimé pour de vrai,j'ai compris qu'en toutes circonstances, j'étais à la bonne place, au bon moment. Et, alors, j'ai pu me relaxer.

Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle Estime de soi.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle, n'étaient rien d'autre qu'un signal lorsque je vais à l'encontre de mes convictions.

Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle Authenticité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé de vouloir une vie différente et j'ai commencé à voir que tout ce qui m'arrive contribue à ma croissance personnelle.

Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle Maturité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai commencé à percevoir l'abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne,dans le seul but d'obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n'est pas le moment.

Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle Respect.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m'était pas salutaire,personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l'égoïsme.

Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle Amour Propre.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé d'avoir peur du temps libre et j'ai arrêté de faire de grands plans, j'ai abandonné les mégaprojets du futur. Aujourd'hui, je fais ce qui est correct, ce que j'aime, quand ça me plaît et à mon rythme.

Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle Simplicité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé de chercher à toujours avoir raison et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.

Aujourd'hui, j'ai découvert l'Humilité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l'avenir. Aujourd'hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.

Aujourd'hui, je vis une seule journée à la fois, et ça s'appelle Plénitude.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir, mais si je la mets au service de mon coeur,elle devient un allié très précieux."

 

Charlie_Chaplin.jpg Charlie Chaplin

Merci Jeanine

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3 mars 2012 6 03 /03 /mars /2012 18:25

Témoignage d'une personne après plusieurs séances (par soucis de confidentialité nous l'appellerons Fabien) :

 

Florence Bouillard (FB) : Fabien, peux-tu nous dire pour qu'elle(s) raison(s) tu as vu pour la première fois un(e) kinésiologue ?

 

Fabien : Sur les conseils d'un proche. J'avais envie de développer de nouvelles activités et de mieux gérer le stress que je peux ressentir à certains moments de ma vie.

 

FB : Qu'as-tu vécu durant les séances ?

 

Fabien : Un premier temps d'écoute important. Ensuite une surprise de voir la technique d'interrogation du corps qui est particulière. L'impression que ça s'adresse à moi et en même temps pas à moi. L'important c'est que ce soit efficace.

Beaucoup de questions pour exprimer ces ressentis, guider la séance.

A un moment donné l'évocation de souvenirs, d'images, qui sont importantes pour dépasser ses propres peurs.

Comme s'il y avait une lumière, une évidence. Une ouverture de la conscience : "bon sang, mais c'est bien sûr..."

Un déclic ; On comprend les liens entre les proches, des mémoires, des souvenirs de sa propre vie.

Voir la vie ou le monde différemment, en se sentant libéré d'un lien, d'un poids, d'une phobie.

 

FB : D'après toi, à quelle fréquence doit-on aller chez un kinésiologue ?

 

Fabien : Dans l'optique d'un développement personnel, développement de soi (hors difficultés importantes), je pense qu'il faut y aller une ou deux fois par an. Il y a toujours des points de progrès à travailler, encouragé par le résultat des séances précédentes, Plus on ressent le bien-être, plus on a envie d'avancer dans cette voie.

 

Il n'y a pas besoin d'avoir des difficultés ; se sentir mieux, s'occuper de soi, développer ses ressources, sont des motivations suffisantes pour faire de la kinésiologie.

  

FB : Fabien, je te laisse le dernier mot pour conclure ...

 

Fabien : Toutes les personnes qui ont des activités importantes, artistes, grands dirigeants, sportifs... sont tous accompagnés dans leur progression. Pourquoi pas moi ?  

Le fait d'être accompagné par quelqu'un afin de mieux se connaître et gérer le changement, ce n'est pas une faiblesse ; c'est une force. 

randonneur.jpg 

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8 décembre 2011 4 08 /12 /décembre /2011 15:58

par Eva Broch Pierrakos

 

Derrière le portail de la faiblesse éprouvée

se trouve votre force

Derrière le portail du chagrin éprouvé

se trouvent votre plaisir et votre joie

Derrière le portail de votre peur éprouvée

se trouve votre sécurité

Derrière le portail de votre solitude éprouvée

se trouve votre capacité d'accomplissement,

d'amour et de camaraderie

Derrière le portail de votre haine éprouvée

se trouve l'accès à l'amour

Derrière le portail du désespoir éprouvé

se trouve le véritable espoir 

Derrière l'acceptation des manques de votre enfance

se trouve votre complétude.

soleil_gif1_.gif

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23 août 2011 2 23 /08 /août /2011 13:30

Définition du mot Deuil : Détresse liée à la perte d'un être aimé

La disparition d'un être cher cause de la souffrance. Pour la surmonter, notre cerveau met en place un processus lent et douloureux que l'on appelle "le travail de deuil".

Ce travail s'accomplit normalement en passant par différentes phases et nous confronte à des émotions fortes. Parfois ce processus se complique ou se bloque, et on peut rester bloqué dans une des phases comme la phase dépressive. La personne se retrouve alors en réactions de stress, peut manifester des symptômes psychosomatiques (lors du vécu d'un deuil, le corps tombe plus souvent malade), et avoir parfois des idées suicidaires à prendre toujours au sérieux.

{C}

Chaque deuil est unique, il est différent et personnel. Simplement si les réactions peuvent être différentes, les étapes du deuil sont presque toujours les mêmes.

À l'annonce du décès d'une personne chère, nous sommes d'abord sous le choc, puis nous nous fermons à cette réalité insuportable. Parfois, il peut y avoir  une période de colère voire de culpabilité, qui se transforme en une longue période de profonde tristesse.

Puis, on devrait retrouver progressivement cette joie de vivre qui avait momentanément disparu, malgré l'absence de l'être qu'on a perdu. Ces phases peuvent être ressenties dans un autre ordre ou se répéter et nous donner l'impression d'un moral en dent de scie aves des rechutes, alors qu'on pensait en avoir fini.

Accepter. Il est essentiel à un moment donné, de prendre (d'accepter de faire) son deuil et de supporter la souffrance qui l'accompagne afin de petit à petit se reconstruire. Il est cependant tout à fait normal d'éprouver un chagrin incommensurable, de se sentir anéanti par des émotions qui nous submergent et d'être stupéfait par des comportements que nous n'avions pas avant.

On peut parfois avoir le sentiment qu'on ne pourra jamais se remettre de la perte d'un conjoint, d'un parent, d'un enfant, d'un ami et même d'un animal, tant notre peine est immense. Mais, en observant de plus près ce sentiment, on peut découvrir qu'en fait, on ne souhaite pas vraiment s'en remettre (on peut même se sentir coupable de vouloir s'en remettre totalement.

En effet, c'est comme si le fait  de vivre, de ressentir de la joie, d'arrêter de pleurer, de pouvoir passer à autre chose signifiait oublier ou trahir le disparu. Comme si le fait de garder notre souffrance nous rassurait de toujours garder en mémoire, ce qu'on a vécu. Or, même si  le chagrin s'atténue avec le temps, le souvenir, lui, ne s'effacera jamais.

Lors de constellations familiales, on s'aperçoit même que lorsque nous pleurons nos enfants morts jeunes, nous entravons leur envol au lieu de le faciliter. Il est possible pour nous de les laisser partir puisque nous savons que nous les suivrons. Il est important de se dsolidariser des morts et de pour autant jouir de la vie, sans mauvaise conscience à leur égard, en leur disant "tu es mort et moi je vis, et puis un jour je mourrai à mon tour." Les morts font partie de la vie et la vie cesse de nous apparaitre comme détachée de la mort. Il y a une interaction entre les deux mondes.        

Se donner du temps : Lorsque ses émotions sont trop intenses, nous sommes tentés de vouloir nous en séparer le plus vite possible, pour ne plus avoir mal. Mais, se remettre de la mort d'un proche demande du temps qui est nécessaire pour notre reconstruction.

Se donner du temps, pour apprendre à vivre autrement. Pour que les larmes fassent place aux rires, pour retrouver le goût d'avoir des projets et pour faire face avec calme aux rechutes occasionnelles souvent inévitables.

Exprimer sa douleur n'est pas un signe de faiblesse ou un manque de courage, mais plutôt une étape nécessaire pour avancer. C'est une épreuve difficile à surmonter. Laisser le temps faire son travail, en parler, accepter d'être aidé, sont des solutions satisfaisantes.

Simplement au bout d'un certain temps, un an, deux ans, si la douleur est toujours la même ou quasiment, on entre peut-être dans un blocage qui nécessite d'être accompagné. La souffrance devient insupportable, et pathologique. c'est à dire anormal (par rapport à une norme). Parler est une bonne chose, mais il est nécessaire de mettre en place des solutions cognitives pour sortir du cercle vicieux dans lequel on s'est enfermé.

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1 juillet 2011 5 01 /07 /juillet /2011 09:18

Concernant les difficultés de Rémi (apprentissage, comportement), on cherche le bouton magique pour tout régler. En vain : il n'existe pas

Un peu de technique : L'apprentissage de la motricité laisse des traces dans notre cerveau. La métaphore suivante permet de comprendre cela : "On sème un nouveau gazon. Une première personne marche dessus, puis une deuxième personne, puis une troisième, etc... se forme alors un sentier, puis un petit chemin. Puis ce chemin s'élargit." 

C'est la même chose dans notre cerveau. Le plus important c'est n'est pas les neurones, mais la connexion entre les neurones. On pourrait appeler ce chemin "l'autoroute de l'information". Plus scientifiquement on l'appelle "le système neuronal". C'est la répétition des actions qui vont le rendre utilisable.

La motricité est le formatage du cerveau. Elle est nécessaire pour que l'apprentissage devienne possible. Cet apprentissage commence dans le ventre de sa maman.

Au départ, Rémi ne sait pas réaliser des gestes intentionnels. Le sentier neuronal n'existe pas. Ce sont les réflexes primitifs de Rémi qui le font bouger. Puis Rémi vit des expériences qui créés des stimuli. Ces stimuli font une empreinte dans son cerveau. La répétition de ces actions vont permettre à Rémi de mémoriser ses expériences.

Les connexions neuronales sont comme un immense plan de la ville, où chaque rue se ressemble, il n'y a pas de rue principale, pas de panneaux, pas de noms. C'est en faisant et refaisant, que Rémi créé des chemins d'accès, s'en souviens et les automatise.

Tant que Rémi est en mode "apprentissage", il est sous le contrôle de ses actions. Son cerveau ne peut faire qu'une chose à la fois lorsque ses actions ne sont pas automatisées. Rémi ne peut donc pas "être attentif ET apprendre quelque chose de nouveau". C'est ou l'un ou l'autre.

Pour qu'il puisse faire plusieurs choses en même temps, il est nécessaire que des actions soient automatisées.  

C'est pour cela qu'il est plus facile d'apprendre à écrire, quand on sait déjà lire. Qu'il est plus facile d'apprendre à écrire quand on sait déjà se servir d'un crayon.

Pour créer de nouvelles connexions, on peut trouver des astuces amusantes :

Rémi a des difficultés en mathématique. (sur un calcul simple). 

Après avoir acquis l'équilibre sur une "planche-balance", et appris à attraper un ballon, quand il est sur la "planche-balance", on lui lance un ballon et on lui dit "3X7= ?"

Le ballon tombe.

Rémi ne peut pas être en équilibre sur la planche, attraper le ballon et répondre de façon juste.

Puis il répète l'exercice. Le ballon tombe, encore et encore. Rémi est énervé et cherche à gagner ce défi. Puis répète : 3X7=21. Désormais, peu importe le temps qui passe, il n'oubliera jamais. Une connexion c'est faite. 

Quand on y arrive pas, ce n'est pas un défaut de mémoire, c'est un défaut de connexion.

L'environnement est très important.  Pour aider Rémi à progresser il faut d'abord l'aimer. Être patient.

Pour permettre à Rémi de progresser dans ses difficultés d'apprentissage, il sera nécessaire de tester si ses réflexes primitifs sont persistants ou immatures. Puis faire un programme d'entraînement complet.

Ce programme d'entraînement nécessite au minimum une quinzaine de séances (parfois plus), accompagnés de mouvements à faire à la maison (dans la joie et la bonne humeur ), 1 minute par jour.

Quelquefois, ce programme demande à être suivi ou couplé par un entraînement avec un "BrainBoy" (petit appareil qui permet d'entraîner les fonctionnalités de base du cerveau). 


Pour en savoir plus, contacter "Florence Bouillard".

 

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24 mai 2011 2 24 /05 /mai /2011 05:00

A une époque où on nous parle du stress au travail, un autre stress prend des proportions allarmantes :

Le stress à la maison

Quand bien même, être en couple, devenir parents sont souvent de bonnes expériences nourrissant notre joie et notre épanouissement, la vie familiale peut être source de stress et diminuer notre énergie vitale. Il peut nous arriver de nous sentir débordé par toutes les activités à faire à la maison et par les soucis que la vie quotidienne nous appporte.

Ce stress peut nous rendre irritable et tendu, provoquer de la fatigue, de l'épuisement, surtout si ce stress s'additionne à une activité professionnelle elle-même stressante.

Son mécanisme

Certains évènements de la vie familiale provoquent des émotions. Ces émotions provoquent une nouvelle situation qui peut devenir plus stressante que la situation de base... jusqu'à devenir douloureux.

Les évènements déclencheurs

... Le comportement des personnes qui m'entourent, les demandes de mon entourage peuvent perturber mon bien-être. Il en est de-même pour les attentes que j'ai vis à vis des autres et les attentes que j'ai vis à vis de moi-même...

Les émotions déclenchées

Colère, tristesse, peur, désir, joie, etc.

Les comportements qui suivent ces émotions

Ces émotions peuvent déclencher des comportements qui sont sensés rétablir ce bien-être et diminuer la gène. Sauf que, notre curseur de tolérance étant placé très bas, les réactions sont rapidemant disproportionnées par rapport à la raison de base.

Exemple forte colère par rapport à un évènement anodin.

"mon enfant joue avant de faire ses devoirs... mon mari n'a pas rangé ses chaussures..."ou bouderie : ma famille n'a pas remarqué le travail que j'ai fourni et je ne me sens pas écouté ni vu ; mon voisin m'agresse et je me referme sur moi-même..."

Parfois, mon comportement va permettre de faire respecter mes besoins ou ceux de la personne en face et va diminuer mon stress, mais parfois, la situation restera bloquée ou va empirer.

Ma colère devant mon enfant ou mon mari peut être excessive et déclencher une réaction "attaque-défense", qui va empirer la situation ; Le fait de bouder va fermer le dialogue et bloquer la situation. Ma peur va me "fermer" à l'autre, elle va m'empêcher de communiquer et va bloquer la situation.

Les solutions sont multiples

Relaxation, stages de Communication NonViolente, séances de kinésiologie...  sont des techniques qui permettent de retrouver un état relaxé, plus naturel, permettent d'apprendre à se connaître et à exprimer autrement ce qui nous tient à coeur...

Vivre dans un état relaxé permet de moins dépenser d'énergie tout en étant plus efficace et permet de récupérer mieux et plus vite. Le principal objectif est d'atteindre un état global de calme, à la fois physique et psychique. Ces techniques psycho-corporelles permettent d'agir sur notre psychisme et sur notre corps.

belle journée à vous !

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22 mars 2011 2 22 /03 /mars /2011 07:23

singe.jpg 

Tout changement dans une société nécessite deux clés : la conscience et la masse critique. Des scientifiques japonais l’ont mis en évidence en observant des macaques locaux (macaca fuscata) à l'état sauvage, sur une période de 30 ans, sur l'île de Koshima. Les singes de Koshima n'avaient aucun contact avec les hommes et chaque semaine, des hélicoptères déversaient sur l'île des tonnes de nourriture - dont des patates douces, que les singes appréciaient comme des friandises. Par contre, ils aimaient moins la terre qui s'incrustait dans la peau des fruits à l'occasion de leur projection brutale sur le sol. Aussi passaient-ils beaucoup de temps à les éplucher avec leurs doigts. Jusqu'au jour où l'une d'entre eux (c'était une guenon) eut l'idée d'aller laver sa patate douce dans l'eau de mer proche. Un curieux phénomène s'est alors produit. Les observateurs notèrent que les premiers à suivre l'exemple de la guenon furent les jeunes singes - au fil des jours de plus en plus nombreux -, puis les autres femelles. Les vieux singes, rivés à leurs habitudes, se montraient les plus réticents et observaient ce manège avec force grimaces réprobatrices. À l'automne 1958, un certain nombre de singes de Koshima lavaient leurs patates douces - leur nombre exact demeure inconnu.

SAUT DE CONSCIENCE

Supposons que lorsque le soleil se leva un matin, il y avait 99 singes sur l'île de Koshima qui avaient appris à laver leurs patates douces. Supposons encore qu'un peu plus tard ce-matin là, un centième singe apprit à laver les patates. Alors, quelque chose d'étonnant se produisit. Ce soir-là, presque tous les singes de la tribu se mirent à laver leurs patates douces avant de les manger. Un peu comme si l'énergie additionnelle de ce centième singe créait une sorte de “percée scientifique” ! Mais ce n'est pas tout : la chose la plus surprenante observée par ces scientifiques fut le fait que l'habitude de laver les patates douces se transmit de façon inexpliquée et simultanée à des colonies de singes habitant d'autres îles, ainsi qu'à la troupe de singes de Takasakiyama sur le continent, qui commencèrent aussi à laver leurs patates douces.

Cette expérience, qui fit l’objet de plusieurs articles dans la revue Primates (2:43-60, 6:1-30) et d’un livre (The Hundredth Monkey de Ken Keyes), te montre que pour qu'un changement s'opère, il faut en premier lieu un petit groupe de pionniers non coercitifs donnant l'exemple de l'accession à une conscience plus élevée. Dans un second temps, lorsque le nombre de ces pionniers atteint une masse critique, le changement devient soudainement une partie intégrante de la conscience de l'ensemble de la communauté. Au niveau individuel, c'est la prise de conscience qui est la clé. Au niveau collectif, c'est le nombre. Entre les deux, la masse critique est la solution. Le reste se fera naturellement. Chaque personne qui change est donc primordiale pour changer le monde car chacun d'entre nous peut être le 100e singe. Veux-tu en faire partie ?

 

(article repris de http://www.facebook.com/notes/jeu-du-tao/centieme-singe/165539186829737)

 

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- Séances individuelles ou constellations (pour les ateliers aller sur la page "ateliers et conférences"

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Florence Bouillard (Imbach)
20 avenue Villarceau - Besançon

Sur rendez-vous

Tél : 06 85 13 18 40 (Portable Prof. de préférence)

Tél : 03 81 65 43 82 (rép. uniquement)

 

Horaires jusqu'au 30 juin 2013

Lundi., mar., mer. 9h/12h et 14h/19h

Ven. 9h/12h et 14h/17h

samedi matin

 

Lignes de bus

4-15-10-22

 

Tarifs 2014

- Séance kinésiologie et barrières : 60 €
- Séance avec les figurines : 65 €

- Constellations familiales (en groupe)

Observateur/participant : 20 €

Votre constellation : 75 €

Siret : 532 925 674 000 14

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